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KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard.

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KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:33
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Koo Min Kyung
Moi personnellement, je me critique moi tout seul

Fidèle
(★★★★✰)
Rancunier
(★★★★✰)
Débrouillard
(★★✰✰✰)
Casse cou
(★★★✰✰)
Influençable
(★★✰✰✰)
Volontaire
(★★★✰✰)
Passionné
(★★★✰✰)
Spontané
(★★★★★)
Fougueux
(★★★★★)
Colérique
(★★★✰✰)
nom : Koo – c'est tout ce qu'il lui reste de sa famille biologique (on sent déjà que ça sent pas bon du côté de son passé) prénom : Min Kyung – ''agilité'' et ''événement heureux'' : si il est plutôt agile avec ses mains (en tout bien tout honneur, calme tes tits jeune pucelle :oo: ), on peut pas vraiment dire que jusqu'ici le côté ''événement heureux'' se soit révélé particulièrement prophétique mais il garde espoir quand même  âge : 19 ans date et lieu de naissance : le 8 février 1997 – il suppose qu'il es né à Seoul vu qu'on l'a retrouvé là bas mais il en est pas totalement sûr non plus, c'est trop flou origines : à priori totalement coréen mais bon, comme il se souvient pas des masses de sa vie avant l'orphelinat, c'est difficile à affirmer aussi nationalité : coréen  cursus universitaire : en STAPS avec spécialisations basketball et handball – quand je disais qu'il était agile de ces mains c'était de ça que je parlais, bande de perverses métier : technicien de surface au KURSS – donc si t'as envie de lâcher une galette après le shot de trop, va dans les chiottes, sinon c'est lui qui doit ramasser et il kiffe pas trop trop ça orientation sexuelle : hétéro pour le plus grand plaisir de ces dames classe sociale : moyenne – il mendie pas mais bon il s'achète pas de Porshe non plus code du règlement : OLAF ET SON NEZ BB UNICORN   tu veux t'investir ? la flamme du gumi brûle en lui :y:

Rumour has it...
parait qu'il serait épileptique (faux : il a juste les mains qui tremblent parce qu'il souffre d'hyperthyroïdie légère (donc non c'est pas Parkinson non plus))  + son rêve, ça serait d'être un putain de rappeur genre comme Tony Parker (faux : son rêve c'est de devenir un putain de basketteur et faire un clip avec des meufs qui dansent et des voitures de ouf ça fait pas de toi un rappeur Tony alors FERME TA GUEULE :oo: )+ il serait tout le temps en train de bouffer des Pringles (vrai : alors ça c'est vraiment le truc dont il peut pas se passer, il en a des réserves sous son lit et alors quand il est stressé, il peut s'en bouffer 5 paquets à la suite. Et sans vomir)  + il dépenserait une montagne de fric en fringue de sport (vrai et faux : nan mais ho c'pas un kéké hein ! :oo: il s'habille pas qu'en ensemble de survèt' jaune poussin adidas ! Nan, Min Kyung, quand il achète des fringues, il achète des VRAIES fringues. Et il s'en achète tellement que son porte monnaie après il pleure) + ça serait un tombeur invétéré de ces dames (faux : en réalité, il est pas hyper à l'aise avec les filles à quelques exceptions près, même si il s'explique pas trop pourquoi. C'est con quand même pour un canon pareil :hansa: )  + il passerait énormément de temps dans un refuge pour animaux abandonné en tant que bénévole (vrai : non seulement il adore les animaux même si il s'en vante pas des masses, mais en plus ça soulage un peu sa conscience de faire une bonne action comme ça. Et puis qu'il le veuille ou non, lui aussi a été abandonné alors forcément, il se sent assez proche de toutes ces pauvres bêtes) + il aurait entamé des procédures pour retrouver ses parents biologiques (faux : il se demande souvent qui ils étaient, comment ils sont aujourd'hui, mais il veut pas les retrouver : il a une nouvelle famille maintenant, une nouvelle mère et il en veut pas d'autre) + il aurait tenu un blog Skyrock sur Tony Parker sur lequel il aurait posté des montages de kéké quand il était au collège (ta gueule)
Survole l'avatar, petit coquin.
My character
« Comment tu te sens aujourd'hui Min Kyung ?
- Bien. Enfin, je crois.
- Tu es stressé ? Tes mains tremblent. Tu as froid ?
- Elles tremblent tout le temps faites pas gaffe. Et j'suis pas stressé, j'suis juste... Je sais pas. Un peu à cran. Un peu perdu.
- Un peu en colère ?
- Très en colère. Je suis tout le temps en colère.
- Contre quoi ?
- J'sais pas. Les gens. Le monde entier. La vie. Y'a tout qui merde tout le temps autour de moi. Ça m'fout en boule putain.
- Est ce que tu en as déjà parlé à quelqu'un ?
- Nan, j'aime pas parler de ces trucs là. Ce sont mes pensées et j'veux qu'elles restent à moi. Les autres ont pas besoin de savoir ça, tous ceux que j'connais ont assez d'emmerdes comme ça, ils ont pas besoin des miennes en plus.
- Qu'est ce qui te fais peur ?
- Pas grand chose, à part l'abandon peut être. Mais ça, c'est une trouille d'orphelin : quand tes parents décident de te lâcher tout seul dans un centre commercial pour se débarrasser de toi quand t'es haut comme trois pommes, t'as toujours un peu la trouille de te faire dégager de la même façon par les autres. Les gens peuvent comme vous ils peuvent pas comprendre comment ça peut te bousiller ta vie un truc pareil, même si tu t'en souviens pas. Parce que y'a toujours un moment où tu te réveilles tout seul à l'orphelinat et que tu réalises que quelque part sur cette planète, t'as une famille et qu'ils veulent pas de toi.
- Tu t'es fait des amis à l'orphelinat ?
- Pas des amis. Une famille. C'est pas pareil. A l'orphelinat, quand tu piges enfin que personne viendra te chercher, tu composes ta famille. Moi j'ai trouvé tout de suite des parents, j'pensais que ça serait bien mais Shin s'est fait adopter et Bobae... elle m'a laissé tout seul.
- Tu leur en veux de t'avoir abandonné ?
- Shin il y pouvait rien. J'étais en colère parce que Bobae elle était plus que l'ombre d'elle même après, j'étais triste parce que ma nouvelle famille elle se séparait. Mais c'est plus à ceux qui ont adopté Shin que j'en voulais. Bobae par contre... J'avais plus qu'elle vous voyez ? C'était la seule qu'il me restait et elle m'a mis de côté quand j'avais le plus besoin d'elle. Même si elle disait que c'était pour mon bien, je m'en foutais moi, c'était une excuse à la con. Une mère ça abandonne pas son gosse, jamais.
- Mais aujourd'hui tu vis chez elle. Je vois même que c'est devenue ta tutrice. Tu lui as donc pardonné ?
- En partie. Pas totalement. Il s'est passé plein de choses qui... qui m'ont fait comprendre qu'elle est la seule en qui j'ai confiance. J'ai pas oublié, mais elle, elle m'accepte comme je suis et j'sais que je suis pas le plus facile des mecs. J'ai traîné avec des gens qui craignaient vraiment j'ai fait des trucs encore plus craignos qui m'filent des cauchemars encore aujourd'hui et Bobae c'est la seule qui peut me calmer.
- Qu'entends tu par ''des trucs craignos ?''
- J'entends le genre de trucs que je vous dirai pas. Je réfléchis pas toujours avant d'agir. L'assistante sociale, elle disait que j'étais très spontané vous voyez ? Et quand on est trop spontané, souvent on regrette. Moi je regrette beaucoup.
- Comment fais-tu pour te calmer lorsque tu sens que trop de choses remontent ?
- Je fais du basket. J'adore ça. Ça me vide la tête, quand je joue je pense qu'au ballon et au panier, c'est tout. Y'a plus d'orphelin, plus de centre commercial, plus de dossier d'adoption, plus de feu, plus de cris, plus de douleur.
- Du feu ? Pourquoi du feu ?
- Ouais du feu. Plus de de feu. Plus de corps. Plus de mort. Plus rien. Plus rien, plus rien, plus rien... »

Je me réveille en sursaut, trempé de sueur, le cœur battant à m'en déchirer la poitrine. Mes mains tremblent tellement que je pourrais même pas boire un verre si je le voulais, ma tête tourne, le sang tape contre mes tempes et je me sens perdu. C'était qu'un rêve. Juste un putain de rêve. J'envoie ma couverture par terre et sors du lit pour remonter le couloir jusqu'à l'autre chambre de l'appartement, même si j'ai l'impression que je vais m'étaler à chaque pas tellement mes jambes sont en coton. J'ouvre la porte sans faire de bruit et murmure dans le noir : « Bobae ? » Elle répond pas. Elle doit dormir. Pas grave : j'entre quand même et me glisse dans le lit à côté d'elle. Tout de suite, ça m'apaise, je me détends. Et je me mets à pleurer. En silence parce que je veux pas la réveiller, mais assez violemment pour que ça me fasse mal.

Allez vieux. Faut pas y penser. Faut pas y penser. Pas y penser.
This is my story
C'est l'histoire d'un petit garçon qui a toujours pensé que la vie était un mouette et qu'elle prenait un malin plaisir à lui chier dessus.
PARTIE I : ET SI VOUS PASSIEZ AU U COMMERCE ?

Notre histoire commence il y a 15 ans dans un gros centre commercial dont on va taire le nom parce que de toute façon je me souviens pas duquel c'était. Le petit garçon se baladait tranquillement avec ses parents dans les allées du centre, tout content parce que c'était bientôt Noël et qu'on lui avait promis que le père Noël serait super sympa cette année et qu'il aurait tout ce qu'il voulait. Alors forcément le gamin, il était comme un fou et courrait partout pour mater les vitrines et faire sa liste dans sa tête. Il était tellement heureux et excité qu'à un moment, il a perdu ses parents de vu. Au début, il a pas fait gaffe, puis il s'est pas rendu compte qu'il était tout seul. Il les a cherché, mais pas trop non plus parce que y'avait tellement de choses, tellement de jouets à regarder partout qu'il se laissait vite distraire quand même. Faut pas trop en demander à un petit de 5 ans. Mais au bout d'un moment, il a commencé à vraiment flipper. Normal, il voulait sa maman. Qui ne veut pas sa maman à 5 ans ? Il a demandé aux gens si quelqu'un l'avait vu, mais personne ne pouvait lui répondre. Un employé du centre a fini par être interpellé par ce petit garçon tout seul et perdu qui pleurait après sa mère. Alors il lui a gentiment dit « Viens, t'en fais pas, on va retrouver ta maman » et il l'a emmené à l’accueil du centre pour faire une annonce. Le môme, il était trop content d'entendre son prénom raisonner partout dans le gros bâtiment plein de magasins. Et puis il s'est dit que là, c'était clair, sa maman, forcément, elle aurait entendu le message et qu'elle tarderait pas à arriver. Alors il a attendu. Longtemps. Pendant des heures il a attendu. Puis des jours, puis des mois. Et enfin des années.

Le petit garçon a longtemps attendu. Mais sa maman n'est jamais venu le rechercher.


PARTIE II : INTERMARCHE TOUS UNIS CONTRE LA VIE CHÈRE


Débouler comme ça du jour au lendemain dans un orphelinat, c'est pas facile. C'est même sûrement le pire truc au monde. Déjà tu dois encaisser le fait qu'on t'a abandonné, mais en plus on te fait direct comprendre que maintenant, on va te stocker ici en attendant que quelqu'un d'autre veuille de toi. Le petit garçon, il réalisait toujours pas que plus jamais il verrait ses frères et sœurs, il pigeait pas que ses parents voulaient plus de lui. La psy elle a essayé de lui expliquer avec des mots simples, comme si il était débile, mais en réalité, c'était pas qu'il pouvait pas comprendre, c'est qu'il voulait pas. Alors il s'est renfermé sur lui même, il voulait parler à personne, il pleurait tout le temps. Mais deux autres orphelins ont réussi à franchir les barrières qu'il avait dressées entre le reste du monde et lui. Un type et une nana, plus vieux que lui. Bobae et Shin. Petit à petit, il s'est accroché à eux comme s'ils étaient sa bouée. Ils l'ont hissé sur leur petit bateau pour le sortir de l'eau et lui ont réappris à vivre pour de vrai. Ils sont devenus sa maison, sa famille, les personnes les plus importantes de sa vie. Comme un père et une mère mais dont il avait la certitude de ne jamais être séparé. Le mot d'ordre, c'était ''toujours ensemble'', alors ils faisaient tout pour ne pas être adoptés, devenant de véritables terreurs devant les potentiels parents d'adoption. Le petit garçon, il s'est vite pris au jeu. Ça lui plaisait bien de faire le sauvage devant les adultes, parce que même si après il se faisait gronder par l'assistante sociale, derrière Shin et Bobae ils le félicitaient. A eux trois, ils étaient plus soudés que les trois mousquetaires. Le môme il avait pas besoin des autres temps qu'il les avait eux. Mais forcément, la mouette au dessus de sa tête a pas tardé à avoir la chiasse de nouveau et les merdes se sont mises à pleuvoir.


PARTIE III : AUX GALERIES LAFAYETTE, LA MODE VIT PLUS FORT

Trop de bonheur, ça plaît pas au destin du gamin, alors il a décidé de lui arracher Shin. Malgré tous leurs efforts pour dégoûter les parents potentiels, celui qu'il considérait comme son père a fini par être adopté et a quitté l'orphelinat, laissant une Bobae dévastée et un petit garçon de 12 ans détruit. Tout son petit monde était de nouveau bouleversé, cet équilibre qu'il avait enfin retrouvé s'effritait entre ses doigts. Il aurait voulu pouvoir consoler sa nouvelle maman, mais il était pas assez de lui tout seul pour combler le trou dans son cœur. Alors il a continué à la suivre. Jamais la laisser tomber, où qu'elle ira, j'irai. C'était ça le credo. Deux ans plus tard, l'orphelinat a été menacé de fermeture. On allait fermer leur maison ! Alors Bobae s'est mise à dealer pour gagner du fric, et le gamin, du haut de ses 14 ans l'a suivi. On suit le credo, on la lâche pas. Mais forcément, comme toutes les histoires de dope, ça a mal tourné. Il a fallu que les flics débarquent et à 16 ans, il a failli se faire coincer comme un pigeon. C'est passé à un poil de cul, tellement près que Bobae, elle a dit stop. Stop à quoi ? A tout. Les trois mousquetaires c'était fini, maintenant fallait faire cavalier seul. Le gamin il a pas compris, il voulait pas comprendre. Elle l'abandonnait ? Elle, celle en qui il avait une confiance aveugle, celle pour qui il aurait pu tout donner, sa mère de substitution, elle voulait plus de lui ? Le petit gars, il a vu d'un coup tout ce qu'il avait construit s'effondrer autour de lui. Comme si toutes ces années à l'orphelinat avaient rien voulu dire. Et quand Shin revient, c'est la cerise sur le gâteau. Alors en fait ils voulaient rester juste tous les deux ? Ils voulaient pas de lui dans leurs pattes pour pouvoir vivre en amoureux ensemble c'est ça ? C'était la claque de trop dans la gueule. Le gars, ça lui a tellement foutu la haine, il était tellement déçu, triste, il se sentait tellement abandonné qu'il voulait tout casser. Alors c'est c'qu'il a fait. C'était pour se venger de ceux qu'il avait considéré comme sa famille si longtemps un peu, comme un putain de doigt d'honneur qui hurlerait : « Vous vouliez pas d'moi ? Bah ça tombe bien, j'veux plus de vous non plus ! ». C'était pour se défouler aussi, beaucoup. La haine elle lui prenait tellement les tripes qu'il aurait fait n'importe quoi. Pour l'éjecter ou l'alimenter ? Il savait même pas. Ça prenait tellement de place qu'il savait même plus par quoi combler le trou si il s'en séparait. Alors il a laissé ce truc grandir, l'envahir et le dévorer.


PARTIE IV : LECLERC DÉFEND VOTRE POUVOIR D'ACHAT

La haine, ça rend moche et ça fait faire des trucs encore plus laids. Mais ça nous aveugle, alors on s'en rend pas compte sur le coup. C'est que quand on se prend une bonne gifle dans la gueule qu'on finit par se réveiller, par réaliser ce qu'on a fait et qu'on regrette à en crever. Le mec, c'est à 17 ans qu'il a ouvert les yeux, mais c'est pas une claque qu'il s'est mangé, c'est une tonne de parpaings qui l'a enseveli. Un soir, il a été assez débile pour se laisser entraîner avec d'autres types vraiment pas recommandables dans un petit cambriolage. Lui il était un peu déchiré, un peu défoncé aussi, il trouvait ça marrant de piquer deux trois trucs et de se casser comme un voleur. Mais dans le tas de crevards qui l'accompagnaient, y'en avait un qui était pas bien dans sa tête. Le genre qui a un pète au casque qui fait flipper. Le genre qui peut s'amuser à cramer des maisons quand y'a des gens qui dorment dedans. L'orphelin paumé, quand il a pigé que l'autre voulait foutre le feu, il a voulu l'arrêter, mais il pouvait rien faire : trop stone pour ça, il avait l'impression que tout tournait trop fort, trop vite. Et puis ses mains elles tremblaient trop fort. La tise c'est pas bon quand t'es malade, c'est pas bon quand tu dois prendre les décisions les plus importantes de ta vie. Finalement le feu a pris, tout est parti en fumée, tout s'est transformé en cendres. Le pauvre mec a juste eu le temps de sortir et de regarder les flammes tout avaler pendant que le pyro et ses potes prenaient la tangente. Il a attendu que les pompiers arrivent, que les ambulances débarquent. Il les a vu sortir les rescapés du feu. Et il a vu la civière avec un corps recouvert par une couverture de survie. Il a comprit que pendant cette soirée, quelqu'un était mort, quelqu'un s'était fait bouffé vivant par les flammes. Quand il a percuté, il s'est enfui. Il a couru le plus loin possible, suffisamment pour plus pouvoir entendre le hurlement des sirènes. Mais les cris dans sa tête, eux, sont restés. Les heures qui ont suivi, elles sont floues dans sa tête. Il sait pas combien de temps il est resté dehors à errer comme un cadavre ambulant, à bousculer les gens sans s'en rendre compte, à se laisser mourir de l'intérieur sans rien faire pour se sauver. Il sait juste que ses pas l'ont amené au seul endroit où il se sentait en sécurité : devant la porte de l'immeuble de Bobae. Il a frappé. Et quand elle lui a ouvert, il s'est écroulé.


PARTIE V : LA VIE, LA VRAIE, AUCHAN

Aujourd'hui, il est toujours en vrac, l'orphelin. Bobae est devenu sa tutrice, il vit chez elle la plupart du temps, elle lui a trouvé un taffe et l'a même poussé à reprendre les études. Au début il voulait pas, il avait déjà du mal à se concentrer sur sa vie, alors sur les études c'était même pas envisageable. Mais après un an à y réfléchir, il s'est dit que c'était peut être pas trop mal. Ça lui permettrait au moins de penser à autre chose. Parce que les images de cette nuit là, cette nuit où il a participé malgré lui à un homicide, elles sont toujours dans sa tête. Ça le hante, ça le bouffe. Il veut pas en parler, il préfère tout garder pour lui. Personne doit savoir, jamais. Il est persuadé d'être un monstre, mais il préfère rester seul à le savoir. Il sait qu'il est comme une bombe à retardement, comme un obus à deux doigts de tout péter et que quand il explosera, ça fera mal. Mais pour le moment il encaisse. Parce qu'il a pas trop le choix non plus.
About me
Je suis...

fantomette

JAMAIS VOUS NE DEVINEREZ MA VERITABLE IDENTITE BANDE DE GUEUX ! :oo:


PV pris

Code:
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:33
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Mon fils
Mon bébé
Mon amour
Mon petit coeur
Ma petite chose d'amour
Ma terreur
Ma faiblesse
Mon protégé
Mon tout.

Noona pleure de joie de te voir enfin là ... ♥️ Et poupou ne peut que remercier son bibou de tout son amour ♥️ Merci pour le PV merci pour l'écrire aussi bien merci d'être ausif sdklfjsmdfjsldk ♥️

Je vais -bobaehinfautsuivre- te donner tout l'amour dont je t'ai privée pendant des années mon petit coeur :( ♥️

Je vais t'aimer tellement que tu vas en avoir marre que je t'aime à ce point :( ♥️

On va être bien tous les deux :shy: tous les trois ♥️

Je t'aime fort :shy: ♥️
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:34
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OH LA LA LA MON BEBE

J'EDIT
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:34
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Rerererere*necompteplusàforce*bienvenue :y: :y: :y:

Bobby c'est le bien :cute:
Bon courage pour ta fiche, je t'envoie du love et du soleil :aah:
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:35
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t mosh ^^
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:38
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Tu parles mieux de mon mec Tasyr. :russe:

Bon même si je suis pas sous le bon compte.
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:44
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Rebienvenue :) fighting pour ta fiche !
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:46
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laisse moi maltraiter mon bleu de sous fifre, femme ^^
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 15:47
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:taz:
Hwang Bomi
★★★★★ LEGENDARY SHAKER (MODO)
Hwang Bomi
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Pseudo : omoi.namida
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | Jeu 28 Avr - 16:07
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ouais bon... Encore un qui ne sait pas ce que c'est de supporter Bo Bae.
Bon courage quand même. :/

(poupou :finger: )

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something wrong with us
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Re: KOO MIN KYUNG ~ Chuck Norris a deja cassé 3 pattes a un canard. | 
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